Cameroun : Journal kalara parution 10 septembre 2018
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plusVous recherche une entreprise, une ONG; ETC sur toute l’étendue du térritoire camerounais vous pouvez parcourrir nos pages web dans la rubrique adresses et vous serez satisfait
Select Page
13, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus13, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus13, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus12, Sep 2018 | Droit de la communication |
REPUBLIQUE DU CAMEROUNPAIX – TRAVAIL – PATRIE ————– ————– DÉCRET N° 2012/038 DU 23 JAN 2012 Portant réorganisation du Conseil National de la Communication. LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, Vu la Constitution ; Vu la loi n° 90/052 du 19 décembre 1990 relative à la communication sociale, modifiée et complétée par la loi n°96/04 du 04 janvier 1996 ; Vu le décret n°92/088 du 04 mai 1992 portant organisation des Services du Premier Ministre, ensemble ses modificatifs subséquents ; Vu le décret n°2000/158 du 03 avril 2000 fixant les conditions et les modalités de création et d’exploitation des entreprises privées de communication audiovisuelle ; Vu le décret n°2011/408 du 09 décembre 2011 portant organisation du Gouvernement, DÉCRÈTE : CHAPITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES ARTICLE 1er.- le présent décret porte réorganisation du Conseil National de la Communication ci-après désigné le Conseil, en abrégé « CNC ». ARTICLE 2.- (1) Le Conseil est un organe de régulation et de consultation. (2) Le Conseil est doté de la personnalité juridique et de l’autonomie financière. (3) Il est placé auprès du Premier Ministre, Chef du Gouvernement. (4) Le siège du Conseil est fixé à Yaoundé. ARTICLE 3.- (1) Le Conseil est chargé d’assister les pouvoirs publics dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique nationale de communication sociale. (2) Il veille au respect de la liberté de communication sociale,...
En savoir plus12, Sep 2018 | Droit administratif |
MINISTERE DES FORETS ET DE LA FAUNE. ARRETE N°0087/MINFOF DU 24 AOUT 2018 PORTANT NOMINATION DE RESPONSABLES DANS LES SERVICES DECONCENTRES DU MINISTERE DES FORETS ET DE LA FAUNE. LE MINISTRE DES FORETS ET DE LA FAUNE Vu la constitution ; Vu le décret n°2005/099 du 06 avril 2005 portant organisation du Ministère des Forêts et de la Faune, modifié et complété par le décret n°2005/495 du 31 décembre 2005 ; Vu le décret n°2008/376 du 12 novembre 2008 portant organisation administrative de la République du Cameroun ; Vu le décret n°2011/408 du 9 décembre 2011 portant organisation du Gouvernement, modifié et complété par le décret n°2018/190 du 02 mars 2018 ; Vu le décret n°2018/191 du 02 mars 2018 portant réaménagement du Gouvernement, ARRETE : Article 1er : Sont, pour compter de la date de signature du présent arrêté, nommés aux postes ci-après dans les services déconcentrés du Ministère des Forêts et de la Faune : DELEGATION RÉGIONALE DES FORETS ET DE LA FAUNE DE L’ADAMAOUA DELEGATION DEPARTEMENTALE DES FORETS ET DE LA FAUNE DU FARO ET DEO Délégué Départemental : Monsieur DEBA Samson MBU, ingénieur des Eaux et Forêts, Matricule 649 471-X, précédemment chef de la Brigade Régionale des Opérations de Contrôle Forestier et de lutte Anti-Braconnage du centre, en remplacement de Monsieur SAIDOU Roger, appelé à d’autres fonctions. DELEGATION DEPARTEMENTALE DES FORETS ET DE LA FAUNE DE LA VINA Délégué Départemental : Monsieur MOHAMED...
En savoir plus10, Sep 2018 | Livre |
Cette oeuvre, cet essai de 100 pages est financièrement accessible à tous. veuillez l’achetez à 16 euros, 20 dollars ou 10000 FCFA la pièce pour l’acquérir bien vouloir contacter : www.camerlex.com ou Tel : 00237.222.230.155 cliquez ici pour télécharger ce document Hommes politiques, managers-hommes de médias et stratèges militaire et de police . professeurs de facultés, ...
En savoir plus7, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus7, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus7, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus7, Sep 2018 | Journaux |
Cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus7, Sep 2018 | Journaux |
cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus6, Sep 2018 | Journaux |
cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus6, Sep 2018 | Journaux |
cliquez ici pour télécharger le...
En savoir plus6, Sep 2018 | droit publique économique |
BIOGRAPHIE DE FABRICE SIAKA Fabrice SIAKA, est à distinguer de André SIAKA, emblématique patron des Brasseries du Cameroun pendant vingt-cinq ans dont il n’est que l’homonyme. Fabrice SIAKA tire sa gloire de deux français ; l’un, son bienfaiteur (Edmond Patrick Lecourt et l’autre, son partenaire (Louis Dreyfus). Fabrice Siaka a d’abord exercé chez Edmond-Patrick LECOURT qui dirigeait Savent Brokers. C’était en 2007. C’est à cette époque-là qu’il a eu l’idée avec le parlementaire AliyoumFadil, de fonder Sodinaf (Société de Distribution Nouvelle d’Afrique). Donc Edmond-Patrick Lecourt est son bienfaiteur à qui il doit une fière chandelle. Lecourt, est trader monégasque qui a fait fortune en Afrique. Il a initié Siaka et lui a prêté 50 000 euros pour qu’il se lance dans le négoce. Sodinafcréé par Siaka est implanté au Cameroun, au Tchad, en Centrafrique et en RD Congo. Les quatre sociétés sont regroupées sur le Holding parisien Négoce Marché pour l’Afrique qui vend du riz. Il est deuxième derrière l’indien SONAM. En 2017, il a importé 20 000 tonnes de riz et 50 000 tonnes de maïs et de tourteaux de soja (alimentation animale) qu’il distribue dans la zone CEMAC, pour un chiffre d’affaires de près de 50 milliards de francs CFA. C’est à partir de 2012 que l’entreprise voit son activité décoller grâce au groupe Louis DREYFUS, devenu son fournisseur exclusif. Si, comme son concurrent SOACAM, fondé par le magnat NANA BOUBA...
En savoir plus5, Sep 2018 | finance publique |
Décret N°2018/415 du 18 juillet 2018 habilitant le ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire à signer avec l’Agence française de développement (AFD), un accord de crédit d’un montant de 100 millions d’euros, soit environ 65,7 milliards de francs CFA, relatif à la tranche 2018 de la Facilité multi-tranche de 300 millions d’euros octroyée à la République du Cameroun. Le président de la République, Vu la constitution; Vu la loi n°2017/040 du 29 décembre 2017 portant loi de finances de la République du Cameroun pour l’exercice 2018. Vu le décret n°2011/408 du 9 décembre 2011 portant organisation du Gouvernement,modifié et complété par le décret n°2018/091 du 2 mars 2018. Décrète : Article 1.- Le ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire est habilité, avec faculté de délégation, à signer avec l’Agence française de développement (AFD), un accord de crédit d’un montant de 100 millions d’euros, soit environ 65,7 milliards de francs CFA, relatif à la tranche 2018 de la faculté multi-tranche de 300 millions d’euros octroyée à la République du Cameroun. Article 2.- Le présent décret sera enregistré, publié suivant la procédure d’urgence, puis inséré au journal officiel en français et en anglais. Yaoundé, le 18 juillet 2018 Le président de la République, (é) Paul...
En savoir plus5, Sep 2018 | finance publique |
Arrêté N°0415 du 18 juillet 2018 création de contrôle financiers Article 1er : Des Contrôles financiers sont, à compter de la date de signature du présent arrêté, créés auprès des structures ci-après: Elections Cameroon; Communauté urbaine d’Edéa; Communauté urbaine de Kumba; Communauté urbaine de Limbé. Article 2.- Le présent arrêté sera enregistré, publié suivant la procédure d’urgence, puis inséré au Journal officiel en français et en anglais. Yaoundé, le 18 juillet 2018 Le président de la République, (é) Paul...
En savoir plus30, Août 2018 | Droits de l'Homme |
LA STATION DE CAPTAGE ET DE TRAITEMENT D’EAU D’AKOMNYADA Les robinets de la ville de Yaoundé doivent à 75% leur approvisionnement en eau potable à la station de captage et de traitement d’eau d’Akomnyada. Adossée sur le fleuve Nyong, elle dessert également la ville de Mbalmayo, dans le département du Nyong-et-So’o, région du Centre. Cette usine a été construite en 1985 par l’entreprise Geofor. Du fait de l’expansion de la vile et du boom démographique, la capacité de production de cette station située à 37 km de Yaoundé s’avère de moins en moins suffisante, du fait de la forte demande ( le besoin en eau s’élevant à près de 300 000 m3 par jour contre 185 000 m3 produits par les stations d’Akomnyada et de la Mefou). Le gouvernement avait alors initié l’extension de cette station de 55 000 m3 par jour. Le projet a pris corps en 2017 avec l’appui d’Exim Bank des Etats-Unis. Aujourd’hui, elle fournit 135 000 m3 par jour. Un volume en deçà de sa capacité de production. « la station de production et de traitement d’eau d’Akomnyada a été réhabilitée et mise à niveau pour produire 180 000 m3 par jour. Mais, elle tourne à 135 000 m3 car la station de pompage DE Nkoayos est limitée à ce volume », indique une source bien introduite au service d’approvisionnement en eau potable en milieu urbain du ministère de l’Eau et de l’Energie....
En savoir plus30, Août 2018 | Droits de l'Homme |
La Station de traitement d’eau potable de Yato Avec ses 150.000 mètres cubes d’eau/jour, la station a permis d’accroître significativement l’offre à Douala. Ville en constante extension, Douala, capitale économique du Cameroun, siège de très nombreuses industries et d’une population qui croît d’environ 10.000 personnes par an, selon la Communauté urbaine, a des besoins en eau cruciaux. Vu sous cet angle, le moindre apport est important, s’agissant du précieux liquide. C’est donc avec joie et soulagement que les habitants de la métropole économique, dans leur large majorité, avaient accueilli en son temps l’avènement de la station de Yato. Plus précisément, l’usine de traitement d’eau potable de Yato. Fruit de la coopération sino-camerounaise, la station a été construite en deux phases : la première en 2010, au terme de laquelle l’usine produisait 50.000 mètres cube d’eau/jour, et la seconde en 2014, pour un débit de 100.000 mètres cubes supplémentaires. Au final donc, 150 mille mètres cubes d’eau sortent quotidiennement de ce qui est à ce jour la plus grande unité de production d’eau potable de la ville de Douala. Et si, dans l’absolu, l’usine est plutôt située hors de la capitale économique – à quelque 11 km de la ville -, avec points de captage sur le fleuve Moungo, sur la route menant à Tiko,ce sont bien les « Doualais »qui reçoivent sa production. Et selon des informations fournies par la...
En savoir plus30, Août 2018 | Droits de l'Homme |
ÉLECTRIFICATION RURALE 166 Localités éclairées au solaire ce nombre a été atteint avec la mise en service, la semaine dernière par le ministre de l’Eau et de l’Energie, de la Centrale de Nsem, l’un des villages bénéficiaires dans la Haute Sanaga. A ce jour, seuls 40% de la population vivant en milieu rural à accès à l’électricité. Le gouvernement, soucieux du bien-être de ses populations, tient à améliorer la situation dans les meilleurs délais. Surtout quand on sait que la zone rurale est celle qui fait vivre la zone urbaine, en produisant notamment les denrées alimentaires, mais aussi celles destinées à l’exportation. D’ailleurs, comme l’a précisé Gaston ELOUNDOU ESSOMBA , Ministre de l’Eau et de l’Energie, « Conscient qu’aucun développement n’est envisageable sans une énergie suffisante et de bonne qualité, le chef de l’Etat a fait de l’accès des populations à l’électricité un des axes majeurs de sa politique dans la marche du pays vers l’émergence à l’horizon 2035 ». C’était vendredi dernier, alors qu’il mettait officiellement en service la centrale solaire photovoltaïque de Nsem, une localité de la Haute Sanaga dans la région du Centre. La première à entrer en fonction sur les 166 déjà construites dans la cadre du projet d’électrification de 1000 localités par système solaire photovoltaïque au Cameroun. La première phase de 166 villages étant ainsi bouclée. Un projet réalisé grâce à la coopération avec la Chine via...
En savoir plus27, Août 2018 | Droit de la décentralisation |
DÉCRET N°2018/449 DU 1ER AOUT 2018 ORGANISATION DU MINISTÈRE DE LA DÉCENTRALISATION ET DU DÉVELOPPEMENT LOCAL Le président de la république décrète : TITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1er.- (1) le Ministère de la Décentralisation et du Développement Local est placé sous l’autorité d’un Ministre. (2) Le Ministre de la Décentralisation et du Développement Local est responsable de l’élaboration, du suivi, de la lise en œuvre et de l’évaluation de la politique du Gouvernement en matière de décentralisation, ainsi que de la promotion du développement local. A ce titre, il est chargé : Dans le domaine de la décentralisation : De l’élaboration de la législation et de la réglementation relatives à l’organisation et au fonctionnement des Collectivités Territoriale Décentralisées ; De l’évaluation et du suivi de la mise en œuvre de la décentralisation ; Du suivi et du contrôle des Collectivités Territoriales Décentralisées ; De l’application de la législation et de la règlementation sur l’état civil ; Sous l’autorité du président de la République, de l’exercice de la tutelle de l’État sur les Collectivités Territoriales Décentralisées. Dans le domaine du développement local : De la promotion du développement socio-économique des collectivités Territoriales Décentralisées ; De la promotion de la bonne gouvernance au sein des collectivités Territoriales Décentralisées. (3) Il exerce la tutelle sur les organismes publics de mise en œuvre de la décentralisation, notamment : – le Fonds Spécial d’équipement et d’Intervention Intercommunale (FEICOM) ; – le centre...
En savoir plusAidez nous à développer le contenu de votre site en faisant un don
Cliquez ici pour faire un don